Si la finalité des études est d’avoir un emploi après la formation, les Grandes Ecoles constituent une voie sûre pour intégrer rapidement l’environnement professionnel. En effet, cela constitue, avant tout, l’un de ses principaux atouts et ce n’est pas la dernière étude réalisée par la Conférence des grandes écoles (CGE) qui dira le contraire. Focus !
80,6% des diplômés décrochent leur premier emploi moins de six mois après la formation.
Réalisée auprès de 173 établissements sur 182, la réussite de cette enquête a exigé l’administration de quelques 53 000 questionnaires auprès des diplômés bac+5 des deux dernières promotions. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les diplômés des Grandes Ecoles ne chôment pratiquement pas, d’autant plus qu’ils sont aujourd’hui plus de huit jeunes sur dix à être actifs seulement six mois après la validation de leur diplôme et leur sortie du circuit de la formation. Evidemment, ce chiffre oscille entre douze et quinze mois après le diplôme, où le taux d’insertion culmine à 92,7%, soit le même pourcentage que les anciens diplômés des universités du même niveau, mais sondés trente mois après leur sortie d’école.
Par ailleurs, les diplômés des Grandes Ecoles ont en partie signés leur premier contrat de travail avant même d’avoir terminé leur parcours d’étudiant, grâce aux stages et immersion en entreprise.
Le stage ; un tremplin vers le monde du travail
Selon la même enquête, les stages de fin d’études constituent l’un des premiers dispositifs facilitant l’accès rapide à l’emploi des jeunes diplômés des Grandes Ecoles. Ainsi, ils sont 29,8% à avoir obtenu un poste grâce au stage en 2014.
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