Découvrez le parcours de Michael, de l’IUT aux grandes écoles

Découvrez le parcours de Michael, de l’IUT aux grandes écoles

Michael incarne bien l’étudiant et ses problématiques : il a longtemps été en proie à l’indécision. Son Bac S n’était pas forcément ce qui l’attirait le plus, mais ses parents voulaient qu’il mette toutes les chances de son côté. C’est aujourd’hui à lui de se créer des opportunités.

Comprendre ses aptitudes naturelles

Maintenant qu’il est certain de ce qu’il veut, Michael se dit qu’il aurait peut-être dû suivre ce qui lui plaisait le plus au départ : « arriver en éco en supérieur et pas savoir qui est Keynes, ça la fou mal ! ». Son retard sera vite rattrapé. C’est son sens du contact qui l’a d’abord orienté vers le commerce : « on me disait que j’étais un négociateur dans l’âme ». Ajoutez à ça un attrait pour les mystères du marketing et un manque d’intérêt pour les matières scientifiques, et vous obtenez un jeune bachelier en route vers le commerce. Michael nous donne d’ailleurs une indication toute faite mais pas moins pertinente : il a d’abord appris à savoir ce qu’il ne voulait pas.

Le technologique à l’université, un passage enrichissant

Engagé dans un DUT techniques de commercialisation, il savait qu’il irait jusqu’au master : « On dirait que c’est long Bac+5 mais en fait, ça passe super vite ! ».  Son DUT sera alors fidèle à ce qu’il attendait : de bon moyens techniques, un enseignement excellent et un aspect professionnalisant. Il dresse aussi les avantages de la liberté des établissements, qu’il a pu expérimenter en comparant ses cours avec ceux d’autres IUT proposant le même diplôme. Comme il l’avait pressenti, il ne voit pas les deux ans passer, et l’aspect généraliste du diplôme lui plait beaucoup. Aller vers une école de commerce a ensuite été une évidence, « pour la réputation et pour la vision à long terme ». Michael veut en fait se donner les moyens d’avoir le choix, et il y en a un qu’il veut avoir la liberté de faire.

Un attrait particulier et une volonté d’excellence

Ce choix c’est celui du secteur automobile, une véritable passion pour lui : « Dès que j’ai eu 18ans, j’ai passé de suite mon permis de conduire pour piloter une Lamborghini sur circuit ! ». Avec la technologie, ce sont ses deux grands centres d’intérêt. A la fin de son diplôme, il se fait sa première expérience chez ProvideUP, une plateforme qui accompagne les entreprises dans leur recrutement. L’esprit start-up lui plaît et lui donne la liberté de passer ses concours à côté. Pour le choix des écoles, Michael a surtout regardé les accréditations. EQIS, AASCB AMBA. Des sigles un peu compliqués mais témoins d’excellence. L’environnement international est aussi pour lui une priorité. Pour les partenariats mais aussi et surtout pour le niveau d’Anglais. Son critère particulier ? L’associatif. « Des écoles ont des associations spécialisées en automobile qui me donnent vraiment envie ». Pour lui, c’est un gage de dynamisme et surtout d’intégration.

Les concours d’entrée, passage obligé

Concrètement, le jeune étudiant a passé trois concours, à propos desquels il nous a livré son ressenti :

  • SKEMA : son choix n°1. Un concours difficile pour être admissible, un entretien en français et en anglais intéressants. Un campus très attractif et une association dédiée au sport automobile qu’il ne peut pas refuser. Les valeurs de l’école lui plaisent beaucoup.
  • Concours tremplin KEDGE/NEOMA : une synthèse de document en 3 heures et un essai philosophique assez complexe. Un QCM d’Anglais avec texte à trous et compréhension de texte plutôt compliquée : « Beaucoup de compétences évaluées au final, comme l’auto résilience ».
  • Concours passerelle à 3 écoles (Montpellier business school, Grenoble management, Rennes scholl of business) : des coefficients différents et un temps réduit pour les examens. Pas de philosophie mais une question d’actualité à traiter avec concision. Un test d’anglais une fois encore à niveau élevé.

A travers ces concours, Michael a pu comprendre la politique et le positionnement de chaque école. Les évaluations et l’accueil sont des moyens de sentir l’atmosphère. Déjà numéro 1 dans sa liste, l’école Skema business school a fait une demande un peu particulière mais très intéressante, celle d’un CV projectif. « Une manière de jauger l’ambition ». Une manière surtout de se projeter dans son parcours, et de vraiment savoir s’il correspond à ses attentes.

cv michael

 

Catégorie : Actualités