Quand l’international devient une valeur courante dans le corps estudiantin, de plus en plus de cursus comprennent une période à l’étranger, qu’il s’agisse d’une année d’échange dans une université partenaire ou encore d’un stage dans une entreprise à caractère international. Dernière opportunité proposée jusqu’alors, l’année de césure que beaucoup favorisent pour un voyage formateur aux arrières plans de terres oubliées.
Dans ce contexte qui pousse à l’ouverture, la NEOMA Business School proposera bientôt la possibilité de mener ses études dans un campus français, à l’étranger. Explications.
Le campus qui s’implante sur le domaine du Dragon
Comme l’actualité ne cesse de nous le rappeler, l’international est devenu l’un des meilleurs atouts avancés par les écoles supérieures actuelles. Tant et si bien que l’international sera proposé dès la rentrée prochaine comme disponible pour mener l’ensemble de son cursus au sein d’un campus installé en plein cœur de la TEDA (Tianjin Economic-TechnologicalDevelopment Area). Situé à seulement 30 kms de la capitale chinoise, c’est dans un centre névralgique de l’économie du pays que prendra place ce campus d’un nouveau genre.
Ce que réserve ce campus d’un nouvel ordre
Alors que ce processus internationalisant fait partie intégrante de la politique de collaboration qui s’établit entre la Chine et la France depuis quelques années, c’est la NEOMA BS qui profitera de cette innovation estudiantine. Il s’agira ainsi de mener ses études parmi 25 000 autres étudiants, en connaissant l’énergie créatrice d’une zone qui ne compte pas moins de 13 000 entreprises. C’est ainsi dans une double voie que s’oriente cette opportunité. École et étudiants connaitrons ainsi une visibilité sur une scène d’un nouveau genre, qui connait une densité et une internationalisation uniques que les horizons de l’Hexagone ne peuvent qu’esquisser.
Qualité et performance sont ainsi choisis comme maitres mots de ce campus délocalisé qui ne proposera pas que des spécialisations de fin de d’étude, mais des cursus complets et divers. Une démarche qui n’est pas sans envisager un avenir aux frontières dépassées et à une uniformatisation de l’enseignement mondial.