Le 17 décembre dernier s’est tenue l’assemblée générale de la banque d’épreuves Ecricome pour procéder à la reconstitution du bureau de l’association, conformément aux statuts en vigueur. Ainsi, Thomas Froehlicher en est le nouveau président, succédant à Frank Bostyn, doyen de la Néoma Business School. A noter que les nouveaux membres du bureau exerceront un mandat de deux ans.
Biographie d’un homme au parcours singulier !
Entre 1989, date à laquelle il est sorti diplômé de l’École de management de l’université de Strasbourg, et son élection à la tête d’Ecricome quelques jours avant la fin de l’année 2015, Thomas Froehlicher peut se targuer d’avoir eu, jusque-là, un parcours riche et singulier.
En effet, professeur agrégé à l’enseignement supérieur et docteur en sciences de gestion, Thomas a obtenu sa licence de sociologie en 1990 et a débuté sa carrière professionnelle à l’EM Strasbourg, en tant que Chargé de développement de nouveaux enseignements et de la pédagogie, entre 1993 et 1996. Ensuite, pendant 5 ans, de 1996 à 2001, il va assurer le rôle de responsable de divers programmes de formation à l’ICN Business School et de l’École nationale supérieure des mines de Nancy, avant d’occuper la fonction de directeur général de l’ICN Business School, entre 2002 et 2006.
Sur sa lancée, l’actuel président d’Ecricome va exercer le mandat de délégué général de l’association Artem (2007-2008), avant celui de directeur général et doyen de HEC Liège en 2009. Depuis, le 25 août 2014, il est directeur général et doyen de la Kedge Business School.
Ecricome : quatre concours pour des profils différents !
Après son élection à la présidence d’Ecricome, Thomas Froehlicher n’a pas manqué de rappeler la principale mission de la banque d’épreuves : organiser des concours pour recruter les étudiants des écoles membres de l’association.
Rappelons que Ecricome est l’unique banque d’épreuves qui organise un recrutement post-baccalauréat, post-classes préparatoires et CPGE littéraires et au titre des admissions parallèles à bac+2 et bac+3. Sa gouvernance est assumée par les écoles comme une garantie de stabilité. Alors, souhaitons tous bon vent au nouveau président d’Ecricome !